« Depuis très jeune je suis tombé dans la marmite photographique, grâce à mon père. »
A mes débuts, il n’y avait que l’argentique, et quand le numérique est arrivé, je n’ai pas trop aimé et fini par abandonner. Puis deux décennies se sont passées, et un beau jour grâce à ma femme, un petit reflex numérique est entré dans ma vie. Fasciné par les levés et couchés du soleil, je me suis mis à les photographier, au départ d’une façon assez classique, puis la verticalité s’est invité, et par la suite le négatif. En parallèle je me suis tourné vers la ville et son architecture, que je présente d’un façon décalé et détourné. Puis j’aime aussi les scènes de rue, les gens dans leurs environnements, la photographie humaniste.